Jim à Deauville
La projection du documentaire sur les Doors a eu lieu au Centre International de Deauville, dans une salle immense de presque 1500 places.
Tom DiCillo a présenté son film en début de séance avec, en arrière-plan,une photo géante de Jim, tout sourire.
Le film débute par une série d'images qui défilent à une telle allure que cela en est presque étourdissant.
Puis des extraits de "HWY" introduisent la suite où le réalisateur n'a rien oublié: leurs débuts, leurs disques, leurs concerts (en particulier les très célèbres de New-Haven et Miami), le procès de Jim, son exil à Paris et sa triste fin.
Le narrateur n'est autre que Johnny Depp en personne.
Durant tout le film, est-il besoin de le préciser, la bande-son ne contient que des extraits de la musique des Doors.Quelle ambiance, je ne vous dis que ça, vous imaginez Jim à fond...
Même s'il y a peu d'inédits, le tout s'enchaîne à merveille, c'est un vrai plaisir pour les yeux et les oreilles et c'est toujours aussi émouvant de revoir Jim vivant.
Quelques séquences que je ne connaissais pas et surtout celle qui est restée gravée dans ma mémoire: Jim assis dehors torse nu qui tourne la tête et éclate de rire.
Trop beau! Il faut absolument que je retrouve cette scène...
A la fin du film, Tom DiCillo reçoit les applaudissements du public, puis vient le moment des dédicaces et des photos.Il est très accessible et discute facilement. mais en anglais, bien sûr.
A la mort de Jim, il n'avait que 17 ans. L'avait-il rencontré?
Après cette mémorable journée ( quand cela concerne Jim, c'est toujours mémorable, forcément) passée à Deauville avec Brigitte, dont j'ai enfin fait la connaissance et Lidwine, je suis rentrée la tête pleine de musique et d'images qui ont défilé toute la nuit dans mes rêves, celles d'un blond se superposant à celles du brun...
Jim, si tu savais combien de personnes se souviennent encore de toi, pas forcément de la façon dont tu le souhaitais,tu ne le croirais pas.
En si peu de temps, tu as su marquer ton époque pour toujours.
Tom DiCillo au cours de la séance de dédicace
Tom DiCillo a présenté son film en début de séance avec, en arrière-plan,une photo géante de Jim, tout sourire.
Le film débute par une série d'images qui défilent à une telle allure que cela en est presque étourdissant.
Puis des extraits de "HWY" introduisent la suite où le réalisateur n'a rien oublié: leurs débuts, leurs disques, leurs concerts (en particulier les très célèbres de New-Haven et Miami), le procès de Jim, son exil à Paris et sa triste fin.
Le narrateur n'est autre que Johnny Depp en personne.
Durant tout le film, est-il besoin de le préciser, la bande-son ne contient que des extraits de la musique des Doors.Quelle ambiance, je ne vous dis que ça, vous imaginez Jim à fond...
Même s'il y a peu d'inédits, le tout s'enchaîne à merveille, c'est un vrai plaisir pour les yeux et les oreilles et c'est toujours aussi émouvant de revoir Jim vivant.
Quelques séquences que je ne connaissais pas et surtout celle qui est restée gravée dans ma mémoire: Jim assis dehors torse nu qui tourne la tête et éclate de rire.
Trop beau! Il faut absolument que je retrouve cette scène...
A la fin du film, Tom DiCillo reçoit les applaudissements du public, puis vient le moment des dédicaces et des photos.Il est très accessible et discute facilement. mais en anglais, bien sûr.
A la mort de Jim, il n'avait que 17 ans. L'avait-il rencontré?
Après cette mémorable journée ( quand cela concerne Jim, c'est toujours mémorable, forcément) passée à Deauville avec Brigitte, dont j'ai enfin fait la connaissance et Lidwine, je suis rentrée la tête pleine de musique et d'images qui ont défilé toute la nuit dans mes rêves, celles d'un blond se superposant à celles du brun...
Jim, si tu savais combien de personnes se souviennent encore de toi, pas forcément de la façon dont tu le souhaitais,tu ne le croirais pas.
En si peu de temps, tu as su marquer ton époque pour toujours.
Tom DiCillo au cours de la séance de dédicace